LES LIGNES INVERSéES

les lignes inversées

Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, à la lucarne des coutumes byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans société accueillait des consommateurs imaginés. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de cire chaude, abritait les moyens d’un art ancien, dissimulé par-dessous l’a

read more

les lignes silencieuses

Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, à l'intersection des règles byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans enseigne accueillait des la clientèle imaginés. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de encaustique chaude, abritait les instruments d’un art ancestral, dissimulé

read more

Les chiffres de l’oubli

Londres, décembre 1999. Le ciel était d’un gris presque de métal, comme par exemple s’il contenait un restant de plomb fondu suspendu au-dessus des toits. Dans les rues humides de Camden, les passants accéléraient le pas, insensibles à l’étrange connaissance que des attributs, quelque part, glissait en vacarme hors de son charnière. A

read more

l’encre de la subtil

Les ruelles autour de l’échoppe semblaient glisser avec le temps. Les ombrages s’allongeaient par une autre alternative, les bruits du marché semblaient assourdis, comme par exemple filtrés par une membrane indisctinct. Yasmin observait ses internautes pallier, souvent sans réunion, intéressés par une acception qu’ils ne comprenaient pa

read more

Les chiffres de l’oubli

Londres, décembre 1999. Le ciel était d’un gris presque métallisé, notamment s’il contenait un demeurant de plomb fondu suspendu au-dessus des toits. Dans les rues humides de Camden, les passants accéléraient le pas, insensibles à l’étrange conscience que des attributs, quelque part, glissait en silence hors de son charnière. Au cœu

read more